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Journal d'un amour perdu - SCHMITT Éric-Emmanuel

Couverture Journal d'un amour perdu

« Maman est morte ce matin et c'est la première fois qu'elle me fait de la peine. »

Pendant deux ans, Eric-Emmanuel Schmitt tente d'apprivoiser l'inacceptable : la disparition de la femme qui l'a mis au monde. Ces pages racontent son « devoir de bonheur » : une longue lutte, acharnée et difficile, contre le chagrin. Demeurer inconsolable trahirait sa mère, tant cette femme lumineuse et tendre lui a donné le goût de la vie, la passion des arts, le sens de l'humour, le culte de la joie.

Ce texte explore le présent d'une détresse tout autant que le passé

Notre avis : aucune note

Pas pleurer - SALVAYRE Lydie

Couverture Pas pleurer

Prix Goncourt 2014 - Deux voix entrelacées. Celle, révoltée, de Georges Bernanos, témoin direct de la guerre civile espagnole, qui dénonce la terreur exercée par les nationalistes avec la bénédiction de l'Eglise catholique contre les " mauvais pauvres ". Son pamphlet, Les Grands cimetières sous la lune, fera bientôt scandale. Celle, roborative, de Montse, mère de la narratrice et " mauvaise pauvre ", qui, soixante-dix ans après les événements, a tout gommé de sa mémoire, hormis les jours radieux de l'insurrection libertaire par laquelle s'ouvrit la guerre de 36 dans certaines régions d'Espagne, des jours que l'adolescente qu'elle était vécut dans la candeur et l'allégresse dans son village de Haute Catalogne. Deux paroles, deux visions qui résonnent étrangement avec notre présent, comme
Notre avis : 8 / 10 (3 notes)

Sa Majesté Maman - RAGDE Anne Birkefeldt

Couverture Sa Majesté Maman" On a le devoir d'aimer ses enfants, mais pas celui d'aimer ses parents. "
De sa mère, Anne B. Ragde a toujours fait un personnage de roman. De ses romans. Pour le plaisir, plus ou moins assumé, de l'intéressée... Aujourd'hui que Birte vit ses derniers mois, allant de lit d'hôpital en rendez-vous médicaux, sa fille n'a plus le choix : fini la mise à distance romanesque. La preuve d'amour, la seule, la vraie, ce sera de raconter sa mère, sans fard, sans pseudonyme. Une femme kaléidoscope, une Majesté du quotidien, capable d'élever seule ses filles, dans le dénuement et l'adoration des belles choses, de créer un festin à partir d'un fond de frigo, de tuer pour un livre ou un tableau de Chagall... Peu encline aux tendresses, certes, mais

Notre avis : 8 / 10 (1 note)

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